Tu ne m’en voudras pas trop, Bruce, mais quand j’étais censé écouter tes chansons, j’avais d’autres chats à fouetter que „Born to run“. C’étaient les années où l’animal de la nostalgie remuait en moi. Au milieu des seventies. J’avais vingt-cinq ans, et j’avais trahi. Pas toi ni personne d’autre, mais myself. En décembre 1968, en...